Comment Se déplacer dans Kyoto ?

La manière la plus rapide est d’utiliser les 2 lignes de métro, le réseau de bus urbain, les différentes lignes de train, le taxi ou la bicyclette. Ci-dessous quelques informations pratiques pour voyager au meilleur coût.

Carte combinée métro+bus prépayée « Trafica Kyo »

Cette carte peut être utilisée dans le métro comme dans les bus de ville. D’une valeur de 1000 yens ou 3000 yens, elle s’utilise comme un ticket de bus ou de métro. Le montant du voyage (et de toute réduction pour transport combiné) est déduit à chaque utilisation. Cette carte est valable sans limitation de temps. Les cartes à 3000 yens bénéficient d’un bonus.

Carte prépayée « City bus »

Cette carte n’est valable que pour les bus de ville. Elle s’utilise de la même façon qu’un ticket de bus, le montant du voyage étant déduit à chaque utilisation. Les cartes d’une valeur de 2000 yens bénéficient d’un bonus. Il existe également un billet permettant un nombre illimité de déplacements pendant une journée, au tarif très avantageux de 500 yens.

Japon Rail Pass

Le « Japon Rail Pass » est un forfait permettant un nombre illimité (pendant la durée de validité du forfait acheté) de voyages sur les lignes ferroviaires et de bus de la compagnie JR (Japon Rail), à l’exception des trains « shinkansen » appelés NOZOMI et des voitures-couchettes des trains de nuit. Il est bon de noter qu’un forfait 7 jours coûte 28 300 yens, ce qui correspond au prix d’un seul aller-retour entre Tokyo et Kyoto au tarif normal.

Changer de l’argent

Vous pouvez changer de l’argent ou des chèques de voyage dans tous les établissements bancaires arborant la plaque (toujours écrite en anglais) « Authorized Foreign Exchange Bank », ou bien dans les hôtels les plus importants de Kyoto et les grands magasins. Les bureaux de poste principaux acceptent les chèques de voyage. Le taux de change varie peu entre établissements (les bureaux de change dans les aéroports offrent des taux comparables à ceux pratiqués par les banques en ville). A Kyoto, les banques principales (y compris Citybank) sont situées près de l’intersection des rues Shijo et Karasuma. Pour vous y rendre depuis la gare de Kyoto, prenez le métro, ligne Karasuma, en direction du nord et descendez à la station « Shijo ».

Pour plus d’informations :

Consultez le site officiel    WWW.Kyoto.Travel

488, Teramachi Oike, Nakagyô-ku, Kyoto-shi, Kyoto 604-8571, Japon

Tel: 81-75-222-4133/Fax: 81-75-213-2022

Venir à Kyoto, depuis Tokyo ou Osaka, est particulièrement aisé.

L’Aéroport international du Kansaï est relié à la ville par un train rapide (appelé « Haruka ») et un service de bus. Depuis l’Aéroport international de Tokyo (Narita), il est très facile de rejoindre le « shinkansen » (le TGV japonais), qui vous emmènera directement au coeur de Kyoto.

Une fois sur place, vous déplacer dans la ville et sa région ne posera aucun problème car 1e réseau ferroviaire japonais offre un des services les meilleurs au monde. Il couvre les régions les plus reculées, avec souvent le choix entre plusieurs compagnies privées dont la fierté est l’exactitude horaire de leurs trains. Kyoto ne fait pas exception à la règle : un réseau urbain et régional de trains et de bus et 2 lignes de métro sont à votre service.

Le temple Ginkaku-ji (le Pavillon d’argent) à Kyoto

à 35 minutes de ta gare de Kyoto (bus de ville et à pied)

ouvert de 8h30 à 17H (de 9h à 17h de décembre à février)

droit d’entrée : 500 yens (tarif adulte)

Le temple Ginkaku-ji (le Pavillon d’argent) est situé au pied des collines, à l’est de Kyoto, dans un cadre naturel de toute beauté, représentant l’un des plus beaux exemples de l’art japonais du jardin. Quel que soit le panorama choisi, au bord du jardin zen et de son cône de sable à la symétrie parfaite, depuis les sentiers environnants qui offrent différents points de vue sur ce cadre exceptionnel, le visiteur oublie facilement l’absence de toute surface argentée sur le bâtiment : ruiné par les guerres, le Shogun Yoshimasa n’eut jamais les moyens de réaliser son rêve de le faire couvrir du précieux métal, afin de rivaliser avec son grand-père, bâtisseur du Pavillon d’or.