Sanctuaires, Temples et Jardins

Temples aux toits d’or, temples d’une pure simplicité, sanctuaires respirant la tranquillité et jardins d’un absolu raffinement… Lesquels préférerez-vous ?

Somptueux temples bouddhistes côtoyant d’autres qui incarnent la quintessence d’une élégance architecturale discrète par la suppression de la plupart des éléments décoratifs. Sanctuaires Shinto majestueux et paisibles nichés dans la verte pénombre d’un bois… Il y a tout cela au Japon. Ils surgissent des lieux les plus inattendus, et certains se cachent même dans les villes les plus imposantes comme Tokyo ou Osaka. La construction d’un grand nombre d’entre eux remonte à près d’un millier d’années. Le Shinto, l’ancienne religion indigène qui est restée ancrée dans le territoire japonais, centrée sur le culte des ancêtres et l’harmonie avec la nature, coexiste avec le Bouddhisme qui, arrivé du continent asiatique au sixième siècle, enseigne l’éveil spirituel et le salut grâce au renoncement et à l’ascèse. Shinto et Bouddhisme restent fondamentaux pour les Japonais contemporains et sont toujours des sources d’inspiration culturelles et esthétiques.

Mis à part les édifices eux-mêmes, les images bouddhiques qu’ils contiennent et les jardins des temples sont à eux seuls de splendides œuvres d’art. Les jardins japonais sont connus dans le monde entier pour reproduire avec un raffinement sans égal toute la beauté de la nature dans le cadre d’un espace limité. Asseyez-vous sur la véranda d’un temple et oubliez le temps en vous plongeant dans la contemplation du jardin. Rien n’est plus simple alors que d’oublier la réalité et de savourer l’exquise lenteur que prend le temps. Depuis les temps anciens, les pèlerinages organisés dans les temples et les sanctuaires ont été pour les Japonais un loisir apprécié et sont en fait précurseurs du tourisme d’aujourd’hui. C’est une expérience sans égale qu’il vous faut goûter.

Le Grand Bouddha de Kamakura :

Cette statue du Grand Bouddha symbolise dans le monde entier l’ancienne capitale, Kamakura.

Temple Kinkakuji :

« … Mon père, qui était un prêtre bouddhiste de la campagne et qui était économe de ses mots, avait l’habitude de me dire que rien, dans ce bas-monde, n’égalait la splendeur du Kinkakuji. »

(extrait du Pavillon d’Or, roman du célèbre écrivain Yukio).

Le Jardin Est :

Ce jardin japonais traditionnel, situé dans l’enceinte du Palais Impérial, est ouvert au public. L’entrée est libre.

Temple Ryoanji :

Le Ryoanji est renommé pour son « jardin paysager sec », mieux connu sous le nom de « jardin de pierre » et qui donne, grâce à un arrangement de rochers et de sable blanc, une représentation symbolique de la nature.

Appréciez la tranquillité d’une promenade campagnarde et découvrez la légendaire hospitalité japonaise.

La campagne japonaise abonde de ces paysage « à la japonaise » qui sont presque des clichés pour l’imaginaire occidental.

Quelques heures seulement de voiture ou de train au départ des plus grandes métropoles vous amènent dans un monde totalement différent : imaginez-vous dans un paysage champêtre où il vous suffirait de vous retourner pour découvrir la luxuriance de la végétation couvrant pentes et sommets. Que diriez-vous de visiter une petite communauté nichée dans les montagnes les plus retirées ou un village de pêcheurs du bord de mer ? Une randonnée à la campagne peut vous remplir de bonheur, tout particulièrement si voyager veut dire pour vous s’éloigner de tous les repères et s’immerger dans un monde encore inconnu, allant à la rencontre de la population dans son propre environnement.

La culture du riz a été introduite au Japon il y a plus de 2 000 ans. Depuis, bien sûr, la société et l’industrie japonaise ont considérablement évolué, mais la riziculture a toujours gardé une place essentielle. Au début de l’été, les jeunes plants de riz, en lignes nettes dans les champs débordant d’eau, illuminent les rizières d un vert tendre. L’automne venu, les champs sont drainés et se transforment en tapis dorés à mesure que la récolte mûrit. Le pays tout entier foisonne de ces tableaux qui évoquent avec nostalgie un ancien Japon.

Les champs offrent au Japon abondance de riz, entre autres cultures, et l’archipel jouit également des richesses offertes par mer et montagnes. Les festivals locaux, les arts de la scène et l’artisanat, sans parler de la gastronomie dont chaque saveur est un dépaysement, se mêlent pour vous offrir une expérience impressionnante et réellement inoubliable. Et ce qui vous émouvra, par-dessus tout, sera cette sincère hospitalité que vous rencontrerez partout.

Rizière en terrasse « Tanada » :

Ce type de rizière a été conçu de façon à pouvoir aménager le plus grand nombre de parcelles sur un terrain montagneux. Elle offreun paysage de l’ancien Japon plein de nostalgie.

Le Mont Fuji :

Il ne fait aucun doute que cet élégant sommet est un des attraits les plus courus et un lieu de visite incontournable pour tous les voyageurs arrivant sur le sol japonais.

Onsen de Jigokudani :

Les singes sauvages adorent venir batifoler dans le« rotemburo ». le bassin en plein air, de cet onsen très original.

Matsushima :

Cette baie pittoresque, l’une des trois perspectives les plus célèbres du Japon, est constellée de plus de 260 îlots qui semblent littéralement flotter sur les eaux.

Shirakawa-go :

Ce village, niché au plus montagnes, est renomme style « gassho-zukuri » (maisons de chaume) qui ne se trouvent que dans la région.

Une plateforme aéroportuaire respectueuse de l‘environnement et fonctionnant 24 heures sur 24

Par souci de ne pas infliger aux riverains les nuisances sonores dues aux mouvements d’avions, l’aéroport international du Kansai a été construit sur la mer, 5 km au large du côte.

Grâce à cela, il est devenu l’un des rares aéroports du monde qui sont « exemptes des problèmes liés aux bruits », ce qui lui permet de fonctionner 24 heures sur 24. Tirant le meilleur parti de cette capacité, l’aéroport international du Kansai accueille, après 11 heures du soir, des avions passagers desservant la Thaïlande, l’île de Guam et, depuis plus récemment, Dubaï (Moyen-Orient), Il assure également des services de vols intérieurs qui ont lieu tard dans la nuit ou tôt au matin, tout en jouant un rôle important en tant qu’aéroport de refuge en cas d’intempéries ou d’urgence. En outre, pour mieux organiser les opérations de chargement à l’aéroport de départ et de déchargement à celui d’arrivée, les avions-cargos partant de pays sud-est asiatiques en destination de l’Amérique du Nord, font souvent escale, pendant la nuit, à la plateforme du Kansai pour y effectuer des transbordements ou des ravitaillements en carburant. Actuellement, il y a donc au total une soixantaine de mouvements par semaine qui sont assurés pendant la nuit ou au petit matin.

En matière de protection de l’environnement, toutes les mesures nécessaires sont prises. Les eaux usées sont traitées dans une station d’épuration installée sur l’île aéroportuaire afin de les transformer en eau potable, le surplus étant rejeté dans la baie d’Osaka. Les déchets sont recyclés si c’est possible ou incinérés sur place pour les transformer en matériaux de remblayage. Grâce à l’adoption d’une structure en enrochements à pente douce pour la construction des digues de protection d’une longueur totale de 11 km sur le pourtour de l’île, les plans d’eau autour de l’aéroport bénéficient d’un excellent ensoleillement, ce qui favorise la prolifération de planctons et d’algues attirant donc un nombre important de poissons d’espèces très variés.

Un aéroport offrant un accès rapide à l’ensemble des sites touristiques de ta région du Kansai

La région du Kansai est très riche en sites touristiques d’un renom national ou voire international. Grâce à un réseau de transport en commun extrêmement développé ainsi qu’aux laissez-passer ferroviaires et/ou routiers proposés aux touristes étrangers, ceux-ci peuvent accéder facilement et rapidement à leur destination, et ce à des prix raisonnables. Voici quelques exemples :

(!) 29 minutes par le train express (1.760 yens) ou 45 minutes en autocar (880 yens) pour atteindre le centre-ville d’Osaka où se trouvent notamment :

1)  le quartier de Minami placé sous le signe de la gastronomie ;

2)   le quartier du commerce « Den-den Town » spécialisé dans la vente des produits électroniques et informatiques.

1. 50 minutes en autocar (1.300 yens) pour atteindre le parc à thème « Universal Studio Japan ».
2. 60 minutes en autocar pour accéder à la ville de Kobe.
3. 75 minutes par le train express (2.980 yens) pour accéder à la ville de Kyoto.
4. 80 minutes en autocar ou 70 minutes par le train pour accéder à la ville de Nara.
5. 30 minutes en autocar (1.000 yens) pour accéder à la ville de Wakayama :
6. Accès à la station thermale de Shirahama : 90 minutes par le train et en autobus à partir de la ville de Wakayama (4.500 yens)
7. Accès au mont Koya : 90 minutes par le train express à partir de la gare de Namba, Osaka (2.000 yens).

Un aéroport assurant une correspondance efficace entre les vols internationaux et intérieurs

Grâce à quelque 600 vols hebdomadaires internationaux qui le desservent, l’aéroport international du Kansai est directement relié à une soixante-dizaine de villes réparties sur une trentaine de pays du monde. Il assure également les liaisons avec 22 villes japonaises avec une soixantaine de vols journaliers. Constituant ainsi un nœud important des réseaux de transport aérien, il permet aux passagers des vols internationaux de prendre de façon très efficace la correspondance qui doit les conduire leur destination finale.

En particulier, les liaisons avec les aéroports de Haneda (Tokyo), de Sapporo, de Fukuoka et d’Okinawa étant très fréquentes, le changement d’avions pour accéder à ces grandes villes se fait avec une heure d’attente dans les cas les plus rapides.

L’aérogare a par ailleurs ceci de particulier que le niveau 4, réservé au départ des passagers internationaux, et le niveau 1 à leur arrivée, prennent en « sandwich » le niveau 2 qui, lui, est réservé au départ et à l’arrivée des passagers intérieurs. Grâce à cette organisation fonctionnelle du bâtiment, les déplacements pour prendre une correspondance se font facilement à l’aide d’ascenseurs ou d’escaliers mécaniques. Enfin, le système de navette « Wing Shuttle » permet aux passagers d’accéder rapidement et confortablement aux portes d’embarquement des vols internationaux.